IBC NEWS

 

La lettre d'information de l'Institut Bruno Comby

Numéro 20 - juillet 2000

 

Ce bulletin est envoyé gratuitement aux membres de l'institut à jour de leur cotisation.
Il est archivé et disponible sur internet à l'adresse suivante : http://www.comby.org/lettre/ibcn20fr.htm


Compte rendu de l'AG et du CA du 24 juin 2000

Comme prévu, l'Assemblée Générale annuelle de l'IBC a eu lieu le samedi 24 juin 2000 à 15h00 à Houilles, précédée d'une réunion du Conseil d'Administration.

A 14h00, le Conseil d'Administration s'est d'abord réuni pour faire le point sur les actions en cours, préparer l'Assemblée Générale, décider du transfert du siège social (conformément à l'article 2 des statuts) et délibérer sur l'acceptation des adhésions de nouveaux membres au cours de l'année écoulée. Le siège social sera transféré à l'adresse suivante : c/o Dr Christian Caussé, 21 rue Galibert Pons, 81200 Mazamet, France. Tous les nouveaux membres ayant posé leur candidature, rempli un bulletin d'adhésion et payé leur cotisation depuis la dernière réunion du Conseil d'Administration sont acceptés par le Conseil d'Administration comme membres de l'Institut, à l'unanimité des suffrages exprimés. Le montant des cotisations pour l'année à venir restera inchangé mais sera désormais exprimé en EUROS au lieu des francs : 50 EUROS pour devenir Membre Sympathisant de l'Institut (35 EUROS pour étudiants et chômeurs), 75 EUROS pour en devenir Membre Actif (50 EUROS pour étudiants et chômeurs), et à partir de 100 EUROS pour devenir Membre Bienfaiteur de l'IBC (80 EUROS pour les étudiants et chômeurs). Le bulletin d'adhésion et le site internet seront mis à jour en conséquence. La comptabilité des recettes et des dépenses de l'institut qui est toujours effectuée en francs, basculera en Euros au 1er janvier 2001. Les adhérents pourront toutefois s'ils le souhaitent, continuer à payer leur cotisation en francs (de même qu'ils peuvent déjà régler en Euros ; 1 Euro = 6,55957 francs) jusqu'à la disparition officielle du franc au profit de l'euro.

A 15h00, dans une ambiance particulièrement sympathique s'est tenue l'Assemblée Générale annuelle conformément à l'ordre du jour prévu : 1/ accueil des participants ; 2/ bilan de l'année écoulée et présentation du rapport moral par le Président ; 3/ modification des statuts de l'IBC ; 4/ bilan des actions de recherche scientifique, de communication et de promotion de la santé publique ; 5/ présentation du rapport financier de l'année 1999 ; 6/ renouvellement du mandat des membres du Conseil d'Administration ; 7/ présentation du nouveau site web de l'IBC ; 8/ projets et orientations pour l'année à venir et questions diverses.


Bilan de l'année écoulée et rapport moral du Président

Le Président, le Dr Christian Caussé, a présenté aux nouveaux venus l'IBC, un bref rappel de son historique, des objectifs de l'Institut, ainsi que du travail effectué au cours de l'année écoulée. Cette année a été notamment marquée par la continuation des activités en cours, en particulier pour l'information du public dans le domaine de la santé et de l'environnement (participation à un nombre croissant d'expositions), ainsi que la poursuite des travaux de recherche, les contacts avec la presse et la mise en ligne du nouveau site internet de l'institut, enrichi de nombreuses photos, documents en français ou traduits en plusieurs langues étrangères. La liste de diffusion d'informations sur internet s'est considérablement développée et est maintenant bilingue avec une liste de diffusion en anglais, et une autre en français. On trouve ainsi désormais sur internet des informations nombreuses et variées avec, entre autres, une version adaptée à internet du test de Fragerström permettant aux fumeurs de déterminer leur degré de dépendance à la nicotine. Un menu complet de tests préventifs "testez votre santé" sera prochainement ajouté et comprendra : un test de poids, un test de niveau de stress pour déterminer les causes de son stress, un test de relaxation "êtes-vous un champion de la sieste ?" et le "test de Fragerström" pour déterminer son degré de dépendance tabagique. Compte tenu de l'évolution rapide de la technique dans le domaine de l'internet, le site évolue en permanence, en fonction de l'actualité, des nouveautés techniques et des activités de l'IBC.


Rapport financier de l'exercice 1999

Les comptes de l'exercice 1999 établis du 1er janvier au 31 décembre 1999 ont été présentés et commentés.

Après leur présentation, les comptes ont été soumis à l'approbation de l'Assemblée générale qui les a approuvés à l'unanimité.


Le Comité Scientifique et Médical de l'institut

Parmi les nouveaux venus cette année au sein de notre Comité Scientifique et Médical, nous souhaitons la bienvenue aux personnalités suivantes, ce qui porte à 68 le nombre de membres de ce Comité :

- Professeur Bernard L COHEN, Professor of Physics at the University of Pittsburgh, USA, author of "Before It's Too Late" et "The Nuclear Energy Option".

- Monsieur Jacques FROT, Ingénieur diplômé de l'ENSPM et du CNAM, retraité du pétrole (spécialiste du raffinage des produits pétroliers).

- Docteur Jean-Luc BAILLY, Médecin spécialiste en médecine du sport et formation professionnelle médicale.

- Docteur Jean François Charles THUILLIER, Chirurgien dentiste.

- Professeur Armand RAKOTOZAFY, Diplômé de l'université de Madagascar, spécialiste des plantes malgaches, chef département botanique de l'IMRA (Institut Malgache de Recherches Appliquées). Responsable du projet de sauvegarde de la biodiversité malgache.

Maintenant que le Comité Scientifique et Médical de l'Institut commence à être plus étoffé, il est envisagé d'organiser des réunions spécifiques du Comité Scientifique et Médical. Ces réunions pourraient avoir lieu en région parisienne.


Renouvellement du Conseil d'Administration

Conformément aux statuts de l'institut (article 11), il est nécessaire, lors de chaque Assemblée Générale annuelle, de procéder au renouvellement du mandat des membres du Conseil d'Administration. L'Assemblée Générale a donc voté pour élire le Conseil d'Administration de l'IBC et a décidé, à l'unanimité des membres présents et représentés, de reconduire le Conseil d'Administration actuel qui sera donc, comme précédemment, composé comme suit : Docteur Christian Caussé (Président), Madame Claire Brazillier (Trésorière), Monsieur Benoît Caillard (Secrétaire Général).


Modification des statuts/assemblée extraordinaire :

Une modification des statuts a été proposée à l'assemblée concernant :

1/ le renforcement statutaire des actions de lutte contre le tabagisme -> ajout à l'objet social de "la lutte contre le tabagisme, notamment dans le domaine de la prévention du tabagisme, de l'encouragement au sevrage tabagique et de la défense des droits des non-fumeurs", qui figurera ainsi explicitement dans l'objet social à l'article 1 des statuts dont le libellé complet sera :

"L'Association a pour but : la promotion de la santé publique ; la lutte contre le tabagisme, notamment dans le domaine de la prévention du tabagisme, de l'encouragement au sevrage tabagique et de la défense des droits des non-fumeurs ; la recherche scientifique, notamment dans le domaine de la prévention, de la nutrition, d'une bonne hygiène de vie, de la technologie, de l'énergie, du bien-être des citoyens et d'une éthique de vie, pour améliorer la santé, la prospérité et les performances des individus, des entreprises et des institutions ; la préservation de l'environnement et l'amélioration des conditions de vie."

2/ précisions quand aux modalités d'engagement d'actions juridiques. Il s'agit d'autoriser statutairement et de faciliter d'éventuelles actions en justice de l'association. Pour des raisons techniques, compte tenu de la jurisprudence française concernant le droit à agir en justice des associations (arrêt de la 2ème chambre de la cour de cassation civile du 10 octobre 1978), et pour éviter toute contestation éventuelle par la partie adverse concernant le droit à agir lors d'éventuelles actions en justice, il nous a été conseillé par plusieurs avocats et spécialistes de préciser explicitement dans les statuts de l'IBC :

- i - que l'association s'autorise à agir en justice -> modification de l'article 3 des statuts (ajouter parmi les moyens d'action de l'association à la fin de l'énuméré) : "-actions juridiques auprès de toutes les juridictions compétentes, qu'elles soient locales, nationales, européennes, étrangères ou internationales."

- ii - les modalités d'engagement éventuelles des actions en justice -> modification de l'article 8 des statuts (ajouter à la fin de cet article la phrase suivante - issue des statuts-types recommandés pour les associations sollicitant la reconnaissance d'utilité publique): "Le Président représente l'association dans tous les actes de la vie civile. Il ordonnance les dépenses. Il peut donner délégation. En cas de représentation en justice, le Président ne peut être remplacé que par un mandataire agissant en vertu d'une procuration spéciale. Les représentants de l'association doivent jouir du plein exercice de leurs droits civils."

Ces modifications et les nouveaux statuts ont été présentés, commentés et adoptés par l'Assemblée Générale extraordinaire convoquée conformément aux statuts et statuant aux deux tiers des voix des membres présents ou représentés. Les démarches de déclaration des modifications à la préfecture seront effectuées dans le délai légal de 3 mois à dater de l'AG. La parution au JO du transfert de siège et de l'objet social complété doit être effectuée dans un délai d'un mois.


Statistiques sur les adhésions et membres de l'institut

Au 24 juin 2000, les membres de l'institut se répartissent comme suit :

- membres actifs : 48

- membres sympathisants : 67

- membres administrateurs et membres fondateurs : 5

- membres bienfaiteurs : 5

- membres du Comité d'Honneur : 23

- membres du Comité Scientifique et Médical : 68

- correspondants locaux : 13 (la mise en place des correspondants locaux a débuté en mars1999)

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Total : 229 membres

Il s'agit là des adhésions dûment enregistrées sur le plan administratif (bulletins d'adhésion remplis, cotisations payées, etc.). Notre fichier d'adresses compte à la même date au total 3 589 adresses de lecteurs, amis, sympathisants et correspondants de l'IBC (soit 21 % de plus que l'année dernière).

La répartition géographique des membres de l'IBC est pratiquement inchangée depuis l'année dernière : environ 75% en France métropolitaine, les 25% restants étant partagés à parts égales entre les autres pays d'Europe (Allemagne, Belgique, Suisse, Finlande, Pays Bas, Luxembourg, Grande-Bretagne et Hongrie) et les pays non-européens(Amérique du Nord et du Sud, Afrique, DOM-TOM).

L'intensification des actions de l'IBC auprès du public (notamment la présence sur les expositions, les émissions de télévision et radio, etc.) a ainsi provoqué une augmentation du nombre d'adhérents.


Le point sur la recherche scientifique par le directeur scientifique de l'IBC

Le travail de recherche scientifique depuis la dernière AG a porté notamment sur les points suivants :

1 - poursuite de l'étude intitulée " Evaluation de la santé, du mode de vie et des habitudes alimentaires de sujets crudivores ", dont les résultats devraient en principe bientôt être publiables.

2 - poursuite des tests concernant la préparation d'aliments déshydratés à ultra basse température (UBT), utilisant un nouveau procédé technique de déshydratation mis au point par des membres de l'IBC. Ce système permet de préparer de délicieux aliments totalement ou partiellement déshydratés, et de découvrir des goûts naturels inimitables et introuvables ailleurs. Ce système est en fait le seul système de "cuisson" naturelle, c'est-à-dire une cuisson à l'air (et non pas à l'eau) et à moins de 40°C.

3 - tests de germination de graines. Nous expérimentons actuellement plusieurs systèmes de diverses origines et de notre propre invention. En effet les graines germées sont source de vitamines et on y trouve de nombreux nutriments, vitamines et enzymes très utiles pour la santé. Il est possible de faire germer ses propres graines chez soi très simplement, et cela ne coûte quasiment rien (un verre d'eau ou une assiette contenant les graines suffit comme matériel de base). Vous trouverez le mode d'emploi élémentaire pour la germination des graines dans les livres "Mangez mieux, vivez mieux" et "Stress-Control". Il est toutefois nécessaire de réaliser un rinçage manuel des graines avec les anciens procédés, au moins une fois par jour, et la qualité de germination n'est alors pas constante. Ce procédé rudimentaire présente l'avantage de pouvoir être utilisé en toutes circonstances (même en voyage ou dans des pays défavorisés par des populations démunies) avec simplement quelques graines et un récipient de n'importe quelle forme. Il faut toutefois consacrer quelques minutes par jour à l'opération de rinçage/nettoyage des graines, pour une qualité et vitesse de pousse variables. Le but que nous nous sommes fixé est de développer un système automatique dans lequel on place les graines, on ne s'en occupe plus pendant 4 à 5 jours et on revient simplement pour les verser dans son assiette au moment de les manger lorsqu'elles ont bien poussé, ce qui nécessite un système programmable d'arrosage automatique des graines qui effectue à votre place les opérations quotidiennes fastidieuses d'arrosage entre 1 et 4 fois par jour. Ce système doit avoir une capacité suffisante pour pouvoir alimenter régulièrement en graines une famille ou un restaurant. Nous vous tiendrons au courant des résultats de nos expériences. Plusieurs prototypes basés sur des principes différents fonctionnent déjà.

4 - participation de l'IBC sur le plan de la recherche scientifique au développement d'une nouvelle version d'appareil de mesure du tremblement nerveux, constitué d'un capteur connecté à un ordinateur type PC, permettant une exploitation des résultats au moyen d'un logiciel informatique. Ce nouvel appareil, assez différent du précédent dans son principe de fonctionnement, offre de nouvelles applications diagnostiques et thérapeutiques. Cette nouvelle version présente un grand intérêt médical et scientifique, avec de nouvelles possibilités techniques pour apprendre à maîtriser les tremblements. Ceci représente aussi un grand espoir pour les nombreux patients atteints de tremblements pathologiques. Environ 1% de la population adulte est atteinte de tremblement essentiel, et le tiers des personnes âgées à partir de 60 ans souffre de tremblement sénile ou parkinsonien qui pourraient ainsi être mieux suivis ou rééduqués à une meilleure maîtrise des tremblements par des exercices adéquats, dont le suivi est effectué à l'aide de notre appareil.

5 - un article est en préparation pour la revue "Actualités Vasculaires Internationales" sur le thème "Mesure du stress et prévention vasculaire".

6 - nous préparons une fiche de conseils nutritionnels spécialement destinés aux patients prostatiques (cf ci-dessus).


Correspondant locaux et nationaux de l'IBC

L'institut Bruno Comby dispose depuis l'année dernière de CORRESPONDANTS LOCAUX dans plusieurs pays et régions.

Les CORRESPONDANTS LOCAUX ont pour but de contribuer à faire connaître l'IBC, ses activités et les fondements de la santé préventive autour d'eux, dans leur région, leur pays, leur ville, par exemple en établissant des contacts localement, en insérant un petit article dans le bulletin local, en aidant à traduire des documents. Leur aide est bénévole et aucune tâche particulière n'est donc demandée, chacun participant à sa manière et de son mieux à faire connaître l'importance de la prévention. L'association met à la disposition des correspondants locaux les documentations nécessaires et toutes vos idées et suggestions sont les bienvenues. Etant désireux d'utiliser toutes les bonnes volontés, il peut se produire dans certains cas qu'il y ait deux ou plusieurs correspondants locaux dans la même région ou la même ville. Ceux-ci se concertent alors pour former le cas échéant un groupe local et coordonner leurs actions.

Pour devenir correspondant local de l'IBC il faut : 1/ être d'accord avec les objectifs de l'IBC, 2/ remplir le formulaire "correspondants locaux" (que vous trouverez sur le site internet de l'IBC : http://www.comby.org/corloc/corlocfr.htm),3/ que votre candidature soit acceptée par le Conseil d'Administration.

Des photos de quelques-uns des correspondants locaux peuvent être consultées sur le site internet : http://www.comby.org/photos/corloc/

Pour organiser le développement de l'IBC et la diffusion des informations par e-mail sur internet et dans plusieurs langues, il a été décidé de créer des correspondants nationaux, qui seront des correspondants locaux jouant un rôle pivot dans une langue donnée, notamment pour la traduction de documents dans leur langue, leur pays et/ou leur région géographique. Il y aura en principe un seul correspondant national dans chaque pays et/ou chaque langue. A la différence des correspondants locaux, qui peuvent être plusieurs sur un même territoire linguistique, et pour lesquels aucun travail particulier n'est demandé, les correspondants locaux devront fournir un minimum de travail, sans obligation particulière au niveau des horaires, selon le temps dont ils disposeront, s'agissant de bénévolat, notamment pour la traduction de documents, messages, e-mails ou informations dans leur langue. Le rôle exact des correspondants nationaux sera précisé ultérieurement. Les correspondants nationaux, sont choisis parmi les correspondants locaux. Les correspondants nationaux doivent disposer d'un ordinateur, d'un e-mail et se verront attribuer une ou plusieurs adresses e-mails au nom de l'association (pour faciliter les échanges d'informations). Des procédures expliquant la marche à suivre pour le traitement des informations et les traductions leur seront adressées. Les correspondants locaux et correspondants nationaux doivent être préalablement membres de l'IBC.


Point presse

Nos activités ont fait l'objet jusqu'à présent de plus de 164 émissions TV, 213 émissions de radio, et 985 articles de presse en France et à l'étranger. Il s'agit là des émissions et articles auxquels nous avons participé, dont nous avons eu connaissance ou dont nous avons reçu la coupure de presse. Récemment, depuis l'année dernière, citons (entre autres) :

TV Radio-Canada - présentation de la conférence au Collège de l'Outaouais sur " Mangez mieux " le 15 6 99 par Jasmine Lalonde au journal d'information à 12h30 (1 minute).

TV Radio-Canada - présentation de la conférence au Collège de l'Outaouais sur " La mesure du stress " le 14 6 99 au journal d'information à 12h30 (1 minute).

TV Radio-Canada - présentation du stressomètre, de l'auteur et de la conférence au Collège de l'Outaouais sur " Mangez mieux " le 15 6 99 par Jasmine Lalonde au journal d'information à 18h00 (3 minutes).

TPS - Cinéphase - interview de 4 minutes sur l'entomophagie tournée par Catherine Sambardier de Réservoir Productions à Houilles le vendredi 1er octobre 1999, diffusée dans la soirée du 28 octobre 1999, dans le cadre de la diffusion d'une série de films sur les insectes. Rediffusion à plusieurs reprises les jours suivants.

France 2 - discussion sur la sieste vers 21h00 environ le 22.5.2000.

Canal+ - présentation des insectes et discussion sur l'entomophagie en mai 2000.

2 x LE MOUV - mardi 8 juin 1999 - entrevue de Bruno Comby par Cécile Queguiner sur la sieste par téléphone sur ce réseau FM pour les jeunes, rediffusé deux fois le lundi 14 juin 99 à 7h50 et 18h45 (10 minutes).

CBOFT - émission avec Danièle Grenier sur l'alimentation le vendredi 11 juin 1999 (5 minutes).

CJRC - émission avec Michel Jasmin sur l'alimentation le 15 juin 1999 (100.000 auditeurs - 12 minutes).

MAX 91.0 - Interview de Stefanie Kern en anglais (avec traduction allemande) pour cette radio de Nurenberg le 19 8 99, diffusée le 20 8 99 par câble et hertzien (10 minutes).

Radio Studio 1 (105.8 FM) - émission de 90 minutes sur l'écologie et le nucléaire à l'occasion de la foire NATURE BIO SANTE de Rohrbach (90 minutes).

Radio-France - Jeudi 4 mai 2000 - interview sur la sieste avec Romain Parreaux à 7h50 (3 minutes).

BFM - interview sur la sieste avec Myriam Mascarello, enregistrée le 15 6 00 (sera diffusée 6 fois en juillet août 2000).

12 FM - chronique sur les examens avec David Martin enregistrée par téléphone le 16 juin 2000, diffusée le 19 juin 2000 à 7h58 (2 minutes).

Cigale et fourmi - 2 pages sur les insectes, Bruno Comby et l'entomophagie le 17 juin 2000 (2 pages, 25.000 exemplaires).

Avantages - article sur la sieste et le sommeil inspiré du livre " Éloge de la sieste " dans le numéro de juin 99 - page 206 (4 pages).

Liaison Sociale - mensuel diffusé en kiosque - article de Jean-Philippe Dubost 01 53 04 36 52 - novembre 1999 (une page).

CAMIF Magazine - article de Maria Poblete sur la sieste dans le cadre d'un dossier vacances en avril 2000.

Mutualité de Bretagne - article d'Alexia Rabu en juin 2000 " Les vertus de la sieste " (200.000 exemplaires).

Challenge - article de Daniel Garcia sur la sieste dans le n° de juillet/aout 2000.

Presse de la Manche - article " Le nucléaire au service de l'écologie " en mars 2000 (1/4 page).

Ouest France - article " Le nucléaire au service de l'écologie " en mars 2000 (1/4 page).

Manche Libre - article " Le nucléaire au service de l'écologie " en mars 2000 (1/4 page).

Presse de la Manche - article " Le nucléaire au service de l'écologie " en mars 2000 (1/4 page).

Presse de la Manche - article " Le nucléaire au service de l'écologie " en mars 2000 (1/4 page).

Le Droit (Québec) - article intitulé " Lepère du stressomètre " le lundi 21 juin 1999 (une page).

Ouest-France - le 31 octobre 1999 - article sur le salon Symbiose et le stressomètre (un paragraphe).

Industrie et Environnement - n° 231 mai 2000 -article d'Emmanuel Grenier intitulé "L'écologie contre la liberté d'expression" (1 page).

Terre Sauvage - article de 5 pages sur l'entomophagie en novembre1999.

CIPRIA - Magazine offert en parfumerie - n°14 juillet/aout1999.

MEDIAIR - hebdomadaire du 28 septembre 1999 - deux grandes pages sur l'entomophagie (article illustré).

L'ensemble des coupures de presse rassemblées jusqu'à présent (une vingtaine de gros classeurs) a été montré aux membres de l'institut qui ont ainsi pu mesurer le travail accompli depuis la création de l'institut.


Expositions de l'IBC : environ 1 million de visiteurs informés cette année

L'IBC a participé au cours de l'année scolaire 1999/2000 à de nombreuses expositions dans le domaine de la santé et l'environnement, totalisant en tout environ 1 million de visiteurs de ces expositions, que nous avons informés par contact direct (dialogues et échanges sur le stand).

Le stand de l'IBC est un stand de base d'environ 9 m2 qui présente au public des informations sur la santé et l'environnement, le travail de l'IBC, des livres sur la santé et l'écologie, ainsi qu'un exemplaire du stressomètre permettant au public de tester son taux de tremblement, indicateur du degré de stress, sur le stand, ce qui a toujours beaucoup de succès.

Cette série d'expositions a été l'occasion de faire connaître l'importance d'une vie saine, sans tabac, ainsi que diverses informations sur l'énergie et l'environnement à environ un million de visiteurs.

Les visiteurs, toujours intéressés, posent de nombreuses questions : comment cesser de fumer, les insectes sont-ils vraiment bons, etc. Nous tentons de leur apporter des éléments de réponse, leur permettant de mieux se connaître, de découvrir d'autres approches, de prendre en mains leur santé par la prévention et une attitude responsable, et ainsi de mieux vivre tout en contribuant à réduire le déficit de la sécurité sociale. Nous remarquons à l'occasion de ces expositions que de plus en plus de visiteurs nous connaissent ou nous reconnaissent grâce aux émissions de télévision.

Le bilan en termes humains, de communications, d'échanges et de présence au contact du public est largement positif, et nous pensons dans la mesure du possible poursuivre l'an prochain ces expositions qui contribuent à l'information du public.

Merci à tous ceux qui ont aidé à monter ou à animer le stand de l'IBC sur ces expos jusqu'à présent, en particulier : Jean-Marie, Jean-Claude, Henri-Jacques, Armelle, Delphine, Alain, Claire, Mickael, Serge, et j'espère que je n'oublie personne ! (les bonnes volontés sont les bienvenues).

A suivre...


Lettre de Madagascar le 5 décembre 1999

Madame, Monsieur, et chers amis,

Ce message vous est écrit de ... Madagascar où je suis arrivé le 30 novembre pour un séjour d'une dizaine de jours. L'objectif de ce voyage est de découvrir cette "grande île" à la fois sauvage, lointaine et étonnante dont je ne connaissais à peu près rien, et de préciser les projets éventuels de l'Institut pour le Développement Economique entre la France et Madagascar (IDEM) dont l'institut Bruno Comby fait partie des membres fondateurs.

Pour tout renseignement, vous pouvez vous référer au site de l'IDEM : http://www.ecolo.org/madagascar/

Après plusieurs décennies d'une histoire récente compliquée (l'île de Madagascar fut une colonie française puis a été dirigée par un régime d'inspiration militaire, ce qui n'a pas arrangé l'économie du pays), Madagascar est aujourd'hui un pays indépendant, un peu plus grand que la France, avec une quinzaine de millions d'habitants, mais ruiné, très abîmé (routes, habitations, équipements publics rares et déliquescents, et déforestation générale en raison de la coutume ancestrale du brûlage des terres) et sans grand espoir pour l'avenir (le FMI et la banque mondiale ne prêtent pas beaucoup à un pays non solvable).

Des milliers de jeunes, de bonne volonté, qui voudraient bien travailler mais ne savent pas quoi faire, ne voyant pas où est leur avenir, errent dans les rues, fumant des cigarettes Marlboro à qui mieux mieux avec le peu d'argent dont ils disposent (les pubs pour les cigarettes et le Coca-Cola sont très voyantes un peu partout dans les rues et cafés).

Nul ne sait combien d'habitants compte exactement cette île-continent : environ 15 millions, mais de nombreuses régions y sont quasiment coupées du reste de l'île, sans toujours des registres d'état civil tenus à jour, et il faut parfois plusieurs jours à pied pour rejoindre certaines régions. Il n'y a de routes goudronnées pratiquement que dans la capitale Antananarivo, et encore, dans quel état... ! Des pistes de terre, plus ou moins bien entretenues (4x4 et solides suspensions indispensables) relient les principales villes du pays.

Le PNB moyen par habitant y est un des plus bas au monde.

Beaucoup d'habitants (pas à Tana, ni dans les grandes villes, mais surtout dans les provinces éloignées) n'ont pas ou presque jamais vu un Européen ou un étranger et ne savent pas ce qu'est une ampoule électrique ou la télévision.

Bien que la population soit parmi les plus pauvres de la planète, il paraîtrait que le Président Ratsirak serait parmi les premières fortunes mondiales. Comme dans beaucoup d'autres pays africains ou pauvres, la corruption politique semble assez répandue (à commencer par le douanier à l'aéroport qui vous embête avec vos bagages ou refuse de vous laisser embarquer jusqu'à ce que vous pensiez à lui donner un billet...), sans que la population, très pacifique et très consciente des problèmes du pays, s'en plaigne tellement. Les 170 FF payés par les touristes pour le droit d'entrée dans le pays sont à payer impérativement en espèces et en francs français ou dollars US, de même que le droit de sortie de 95 FF, et il n'est pas certain que cet argent serve beaucoup au budget public et au bien-être des populations...

Les Malgaches sont globalement très courtois, calmes, accueillants (surtout avec les Français car beaucoup regrettent un peu l'époque coloniale où le pays marchait beaucoup mieux), travailleurs (malgré l'absence générale de travail), en assez bonne santé malgré une tendance globale à la sous-alimentation, mais mangeant beaucoup de fruits, de poisson et de riz, ils se portent quand même beaucoup mieux et sont bien plus joyeux, vifs et chaleureux que les habitants de certains pays africains se nourrissant essentiellement de farine de manioc et/ou de lait en poudre donné par l'aide internationale... Physiquement les malgaches ne font pas trop pitié à voir et paraissent en bonne santé. Le pays est très calme et on s'y sent en relative sécurité, malgré le malaise omniprésent résultant de la pauvreté ambiante.

L'alimentation malgache est à base de riz, avec de la viande (j'ai trouvé le zébu cru vraiment très bon), crevettes, poisson, légumes(les mêmes que chez nous : tomates, salades, concombre...), fruits (bananes à 1000 FMG=1FF le kilo, ainsi que mangues, mandarines, des litchis dont c'est la saison actuellement, des ananas tout à fait délicieux...). Le salaire mensuel (pour ceux qui ont la chance d'avoir un travail) est de l'ordre de 150 FF. Comme dans les pays soviétiques, les salaires des fonctionnaires sont versés avec de nombreux mois de retard.

Les services d'hygiène français vomiraient en visitant les rayons viande ou poisson sur le marché central de Tana. Il est certain que la plupart des Français seraient très malades en mangeant cette nourriture. Cette visite au coeur du marché de Tana vaut vraiment le détour et est fort instructive, et tout ce petit monde malgache, malgré la promiscuité, une relative absence d'hygiène sur les étalages de viandes, et les mouches sur le poisson, ne s'en porte pas si mal, bien au contraire.

On remarque que les Malgaches, même peu fortunés, sont toujours très propres, bien lavés et bien vêtus de leur personne (surtout le dimanche pour les cérémonies religieuses, tous les hommes sortant alors leur costume-cravate et les femmes leur plus beau foulard, mais aussi en semaine). On peut préciser qu'il y a des fruits un peu partout sur les marchés, ce qui n'est peut-être pas pour rien dans leur relativement bonne santé.

Tout ceci m'a évidemment beaucoup fait réfléchir quand à la validité des dogmes pasteuriens qui voudraient que la présence de microbes ou d'aliments avariés (surtout la viande et le poisson) suffit pour tomber malade. A Madagascar, ce n'est absolument pas le cas. Le FMI a d'ailleurs récemment appliqué (à tort à mon avis) des sanctions économiques à Madagascar et suspendu certains crédits au motif qu'ils ne respectent pas suffisamment les règles d'hygiène nécessaires aux yeux des instances internationales. S'agit-il d'une sanction amicale pour leur bien (la prévention des épidémies) ou d'un moyen de leur imposer douloureusement des dogmes médicaux infondés mais unanimement révérés en Occident, ce qui pourrait conduire au final à une dégradation de leur état de santé en les forçant à changer leurs coutumes alimentaires ancestrales qui semblent en l'occurrence ne pas si mal leur réussir ? On notera que l'Institut Pasteur dispose d'un bureau important dans l'île (et y a fort à faire pour tenter d'y améliorer les règles d'hygiène).

Un mangeur de zébu cru et autres magrets de canard locaux crus est assuré d'un succès certain. De même pour un Européen amateur de légumes non permanganatés, ce qui ne manque pas d'étonner. En effet la plupart des touristes fréquentent surtout les restaurants les plus chics où leur est servi le vin local, le Betsileo, et où l'on passe pour eux (mais pas pour moi) les fruits, légumes, viandes, etc. au permanganate de potassium pour les désinfecter avant de les servir. Madagascar est régulièrement dévasté par des nuages de criquets et l'entomophagie y rencontre aussi un écho "ancestral" très réel (les personnes d'au moins 40 ans se souviennent presque toutes d'avoir mangé des criquets dans leur enfance, mais la plupart ont arrêté, et un "wasa" blanc entomophage est ainsi très bien accueilli et respecté).

Les Malgaches ont l'esprit très bricoleur et sont toujours prêts à fabriquer une radio ou à réparer une voiture avec quelques bouts de fils de fer. Par bien des aspects, cela me rappelle beaucoup le Pakistan à Karachi en 1980 (peuple dégourdi, quoique les Malgaches sont plus calmes et moins agressifs que les Pakistanais).

Le premier taxi pris en arrivant à l'aéroport d'Ivat (près de Tana) était une 4L (la voiture de base ici) datant de ... 1958 (beaucoup de voitures et toutes les constructions, routes, égouts et installations du pays - ou ce qu'il en reste - datent d'avant l'arrivée des Russes dans les années 70) avec fil de fer en guise de démarreur et jerrycan d'essence entre les genoux du conducteur en guise de réservoir (amorçage de la pompe à essence avant de démarrer au moyen d'une petite poire en caoutchouc à presser plusieurs fois avant d'actionner le démarreur...). Il y a beaucoup d'anciennes 2 CV aussi datant des années 50 et 60 ou de voitures Peugeot et pour les véhicules plus récents les 4x4 japonais (Toyota...) version "tropicalisée" (voiture surélevée, amortisseurs et filtres à air renforcés...) sont bien représentés.

Le salaire minimum malgache est de l'ordre de 100 FF par mois. Un kilo de banane vaut 1 FF et une course en taxi pour se rendre d'un point à un autre de la capitale vaut environ 7 FF pour un Malgache (8 à 10 FF pour un wasa), mais beaucoup ne peuvent pas se l'offrir et n'ayant pas de voiture se déplacent donc à pied (souvent pieds nus, même en ville et dans les caniveaux souillés) ou en "taxi-B" (taxi-brousse) pour 0,50 FF (500 FMG) la course. Un litre d'essence vaut 3 FF et va probablement passer prochainement à 6 FF (en raison de la hausse importante des prix du pétrole sur le marché international ces dernières semaines, ce qui pose de sérieux problèmes). Les biens d'importation (autos, ordinateurs, électroniques, TV, frigo, valent en général 30 ou 40% de plus qu'en France) et sont donc inaccessibles à la grande majorité de la population (qui de toutes façons n'a pas toujours l'électricité pour faire fonctionner les appareils électriques, sauf dans les grandes villes).

Paradoxalement, il y a beaucoup d'embouteillages à Tana (peu de routes, en mauvais état et beaucoup de monde), de longues queues aux postes d'essence et la pollution au centre ville de Tana n'a rien à envier à celle de Paris (camions et voitures anciens, mal réglés et pétaradants).

L'économie est instable et artificielle. Chacun tente de gagner quelques francs comme il peut (de préférence en francs français, comme le gouvernement...). Une entreprise peut faire un chiffre d'affaires de 8 000 F par mois avec plus de 30 employés à plein temps dont 3 ou 4 cadres.

Madagascar compte une colonie française importante (la deuxième colonie française à l'étranger paraît-il après celle du Maroc) et un lycée français très réputé (qui reçoit outre les enfants des coopérants, les enfants des dirigeants politiques). Pratiquement toutes les personnes âgées de plus de 35 ans parlent le français qui est la deuxième langue officielle avec le malgache. Les noms de rues, bâtiments, magasins... sont très souvent en français. Les jeunes ayant grandi sous domination soviétique (années 70 et 80) en revanche parlent moins le français, langue qui était alors interdite dans les écoles.

Petit cours de malgache :

wasa = un Blanc ou un étranger (c'est-à-dire nous) (= les "zoreilles" à La Réunion)

zoma (prononcer "zoum" car les o se disent "ou" et le a ne se prononce pas) = marché

véloma ("prononcer "véloum") = au revoir et merci

J'ai eu la chance au cours de ce voyage d'être guidé par plusieurs personnes sur place connaissant bien le pays, ce qui m'a permis de beaucoup apprendre et de commencer à comprendre ce pays étonnant et attachant. Après un séjour à Tana (situé sur les hauts plateaux au coeur de l'île) de 4 jours, la deuxième partie du séjour s'est déroulée sur la côte ouest du pays, avec davantage de noix de coco, de poisson, de plages et de requins (mais moins que sur la côte orientale).

Je n'ai pas eu le temps d'aller dans la région du parc national malgache hébergeant les célèbres lémuriens.

L'IBC a rencontré de nombreux Malgaches de tous horizons : des paysans, des commerçants, des jeunes, des journalistes, des coopérants, des industriels locaux, et même un proche conseiller du président Ratsirak.

Suite à ce voyage, l'IBC réfléchit actuellement à la contribution qu'il pourrait apporter, à travers sa participation à l'IDEM,au développement de ce pays qui en a bien besoin. Il me semble que ce pays est en train de s'américaniser à grands coups de cigarettes Marlboro et de Coca-Cola, ce qui risque de leur faire perdre leur âme et leur légendaire caractère bon-enfant, si pacifique et accueillant, ce qui s'ajoutant à la pauvreté risque fort de déclencher le cercle infernal de la violence si rien n'est fait pour préserver ce qu'il y a de bon dans leurs habitudes ancestrales, au lieu de leur apporter le pire de l'Occident (drogue, tabac, alimentation inadaptée...). Un des projets possibles pourrait être d'organiser sur place un centre où les Européens viendraient découvrir le pays, se ressourcer, apprendre à y pratiquer une alimentation plus naturelle et faire des cures d'alimentation naturelle "in situ", avec un approvisionnement de légumes et fruits exotiques frais et variés (les mangues sont particulièrement agréables et les termites aussi, faciles à ramasser), loin des rythmes civilisés, dans un contexte on ne peut plus dépaysant. Le même centre pourrait servir de dispensaire, et enseigner gratuitement aux Malgaches des cours sur les méthodes naturelles de santé, l'hygiène alimentaire, les méfaits du tabac, des drogues, des aliments industriels (farines, sucres) inadaptés à leur culture, l'importance de l'écologie et de l'agriculture biologique mettant en oeuvre d'autres techniques que le brûlage des terres...

Le comité scientifique de l'IBC compte un nouveau membre : le Professeur Armand RAKOTOZAFY, diplômé de l'université de Madagascar, spécialiste des effets thérapeutiques des plantes malgaches, chef du département botanique de l'IMRA (Institut Malgache de Recherches Appliquées), responsable du projet de sauvegarde des espèces végétales et de la biodiversité malgache.

Prochainement, nous mettrons à disposition sur le site de l'IBC (rubrique "Voyage à Madagascar") les photos de ce périple.

Avec mes meilleures salutations,

Bruno Comby


Projets en cours et orientations pour l'année à venir

- Poursuite des expositions au contact du public.

- Poursuite de l'étoffement du Comité Scientifique de l'Institut, au fur et à mesure des contacts établis avec diverses personnalités, médecins et scientifiques.

- Développement des correspondants locaux et nationaux et des traductions de documents. Le site web de l'IBC sera progressivement traduit en anglais, en allemand et dans d'autres langues au fur et à mesure des traductions effectuées par des amis et bonnes volontés.

- Rappelons que l'IBC, pionnier du web, a fait partie des premières associations à disposer d'un site internet en France, dès 1995. Concrètement il est possible de s'informer, d'adhérer ou de renouveler son adhésion à l'IBC par internet : n'hésitez pas !

- Changement du système de gestion et automatisation de la liste de diffusion sur internet, afin de pouvoir informer plus facilement un plus grand nombre de personnes. Actuellement une grande partie des opérations est manuelle et donc fortement consommatrice de temps compte tenu du succès croissant de nos activités et du site internet, qui a déjà reçu plus de 10.000 visites en moins d'un an. La lettre d'information IBC-NEWS imprimée sur papier et envoyée par la poste verra sa périodicité décroître à une fois par an (compte rendu de l'AG annuelle envoyée seulement aux membres à jour de leur cotisation n'ayant pas d'adresse e-mail), tandis que les e-mails seront à l'avenir plus nombreux, plus rapides (transmission immédiate dès qu'il y a une info), et diffusés à un plus grand nombre de personnes.

- Décentralisation du secrétariat afin que le directeur scientifique puisse se consacrer un peu plus aux questions scientifiques et un peu moins au travail administratif.

- Recherche d'un logo, et réalisation d'une charte visuelle : si possible (en fonction des finances) réalisation d'un ou deux panneaux d'exposition, et de tapis de souris.

- Continuer à développer le site internet de l'IBC. L'accès à un scanner nous a permis désormais de présenter une partie des archives photos des voyages et recherches de Bruno Comby. Plusieurs albums photos seront ainsi progressivement mis à disposition du public sur le site de l'IBC : sur les insectes, les effets du tabac sur la santé, la pratique du crudisme à travers le monde, les membres de l'IBC, les expositions de l'IBC, les fruits comestibles, les meilleurs fruits exotiques, les variétés anciennes de légumes, la galerie des portraits d'entomophages, les meilleurs insectes au hit-parade de l'entomophagie.

- L'un de nos membres, Patrice, propose de créer, avec la collaboration de membres du comité scientifique et médical de l'IBC, un groupe de travail sur les interactions entre la nutrition, la vitalité et les troubles de la prostate. En effet, des observations effectuées dans le cadre de personnes ayant amélioré leur hygiène de vie, étayées par plusieurs références bibliographiques, semble montrer que le facteur nutritionnel jouerait un rôle primordial dans la survenue des troubles prostatiques ou leur amélioration, en complément des tests classiques tels que l'IPSS ou des dosages de PSA (hormone masculine dont le taux augmente avec l'âge). Une fiche de conseils nutritionnels adaptés pourrait ainsi être mise au point. Certains aliments naturels, en particulier le pollen d'abeille (certains pollens particulièrement, plus que d'autres), pourraient jouer un rôle protecteur et préventif dans la prévention des troubles prostatiques ou leur amélioration clinique. Les troubles prostatiques étant notamment liés à des accumulations de substances graisseuses dans la zone abdominale, il ne serait pas surprenant en effet que les troubles de la prostate puissent être améliorés par la qualité de notre alimentation. Il y a en tout cas là matière à réflexion et à poursuivre les recherches, bibliographiques dans un premier temps. N'hésitez pas à nous faire part de vos observations ou de références et articles éventuels dont vous auriez connaissance à ce sujet.

- Création d'un observatoire du crudivorisme : il est envisagé de créer un observatoire international du crudivorisme, afin de recenser les mouvements crudivores dans les différentes régions du monde, et d'en suivre l'évolution année après année. Les statistiques de cet observatoire seront mises à jour régulièrement au moins une fois par an et portées à la connaissance du public sur le site internet de l'IBC. La gestion de cet observatoire sera confiée à une personne qui en assurera le suivi, c'est-à-dire la mise à jour de la base de données sur internet, selon les procédures qui auront été définies ensemble. Les instructions seront données par l'IBC pour la mise en place initiale, la rédaction des courriers de base, le suivi annuel et les procédures de calculs et statistiques sur le nombre de pratiquants. Le site internet présentera des données statistiques sur le nombre de pratiquants, des informations générales sur les différentes manières de pratiquer le crudivorisme total ou partiel, des reportages photos, et des liens vers quelques-uns des principaux sites crudivores dans le monde. Si vous disposez de quelques heures de temps libre et que vous pensez pouvoir nous aider à réaliser ce projet, contactez-nous ! Il est nécessaire de s'intéresser au crudivorisme, de disposer d'un peu de temps (quelques heures par mois ou par an), d'être membre ou correspondant de l'IBC, et d'avoir un ordinateur avec connexion internet.

- Poursuite des travaux de recherche scientifique et des contacts avec la presse.

L'AG s'est terminée vers 20 heures et a été suivie d'un repas convivial de qualité biologique.

Prochaine Assemblée Générale prévue : printemps/été 2001.


Pour adhérer ou renouveler votre adhésion :

Pour recevoir régulièrement des informations par e-mail, vous pouvez vous abonner à la liste de diffusion gratuite sur le site internet de l'IBC  : http://www.comby.org/list/listfr.htm

Vous pouvez aussi, si vous le souhaitez, adhérer à l'association, devenir membre de l'institut et soutenir ainsi l'IBC, ses recherches et activités de promotion de la santé publique, en remplissant un bulletin d'adhésion que vous trouverez sur internet :

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